" Des textes classiques du yoga, tels que les Yoga Sutras de Patanjali, écrits environ il y a deux mille ans, affirment avec aplomb que si vous vous asseyez calmement, que vous vous concentrez sur votre esprit, et que vous pratiquez le tout assidûment, vous développerez des pouvoirs supernormaux. Ces capacités supérieures ne doivent pas être assimilées à des dons magiques ; ce sont seulement des capacités ordinaires que tout le monde possède. Nous sommes juste si éloignés d’elles la plupart du temps que nous ne parvenons pas à y accéder aisément. On les a rebaptisées télépathie, clairvoyance, précognition et psychokinèse. "


jeudi 31 août 2017

Fermer les yeux pour mieux voir



En 1995, Eric Brun-Sanglard est soudainement atteint et diagnostiqué d'un virus qui va progressivement le rendre aveugle. En quelques mois, ce directeur de communication est plongé dans le noir absolu. Forcé d"utiliser son corps et ses autres sens pour se retrouver dans sa maison, il découvre et remarque peu à peu de nouveaux détails qu'il n'avait jamais vu auparavant.
Grâce aux textures, aux sons et aux odeurs qui l'entourent, il se met à mesurer et à apprécier l'espace. Il caresse les sols, les fenêtres, les poignées de porte, la verdure, et projette les possibilités d'une nouvelle architecture intérieure.

Plus étonnant encore, il semble faire la découverte exceptionnelle d'un nouveau langage, basé sur l'énergie, les forces et les vibrations. "J'avais une pièce dans la maison où je ne me suis jamais senti bien...

Tout à coup, j'ai eu ce désir d'ouvrir une fenêtre dans un mur . Une énergie totalement différente est apparue dans cette pièce. Soudainement, je me sentais bien. C'était une pièce merveilleuse!"

Sans même le savoir, il passe d'un langage visuel à un langage «vibratoire» et développe, selon ses dires, une maison de plus en plus à taille humaine. 

"J'adore être aveugle car depuis que j'ai perdu la vue, j'ai gagné ce sens de profondeur, de vérité et d'émotion."
Il décide alors de vendre sa maison. Puis recommence l'expérience, avec succès, et se lance finalement dans une seconde carrière qui semble inaccessible aux non-voyants : l'architecture d'intérieur. Aujourd'hui célèbre dans le milieu du design Eric Brun-Sanglard raconte son histoire dans son livre, "Au-delà de ma nuit".

Source : le magazine de l'INREES numéro 10.

 

mardi 29 août 2017

Les rêves lucides

Etre conscient d'être en train de rêver, sans que cela ne mette fin au rêve : une réalité démontrée en laboratoire...




Définition :

Le rêve lucide consiste à savoir que l'on rêve quand on rêve. Souvent déclenché par une étrangeté qui fait dire au dormeur qu'il est en train de rêver; un rêve lucide implique un équilibre entre détachement  et participation, où les perspectives de l'acteur et de l'observateur sont toutes deux simultanément présentes. Il a essentiellement lieu pendant la phase de sommeil paradoxal, Grâce à la méthodologie psychophysiologique, on admet aujourd'hui que le rêve lucide est un phénomène normal, pouvant survenir lors d'une phase de vrai sommeil, et ayant sa place au sein d'une gamme d'expériences de conscience. Envisagé comme un processus d'information, la lucidité durant le sommeil serait une aptitude cognitive (LaBerge) ou un modèle de conscience de soi (Blackmore) : le rêveur est capable de raisonner et d'agir (ou non) volontairement, tout en restant profondément endormi.

La plupart des personne disent avoir expérimenté un rêve lucide au moins une fois dans leur vie, mais seules 20% rapportent des rêves lucides chaque mois. Freud soulignait qu'il était possible de se mettre dans une configuration mentale spécifique au moment du coucher pour se souvenir de ses rêves, et il a été observé que les personnes pratiquant régulièrement la méditation étaient davantage sujettes aux rêves lucides. Considérant que l'état de rêve est propice à la compréhension des mécanismes de la conscience, les Tibétains pratiquent d'ailleurs une forme de rêve lucide, le « yoga du rêve », dans lequel les contenus du rêve sont amenés à la conscience pour y être transformés.


Témoignage :


"Dans mes rêves j'étais régulièrement poursuivi par un tigre. Une nuit, mon rêve devient lucide et je sais que ce tigre est un personnage onirique ; pour une fois, je ne cherche pas à fuir mais me retourne, me plante face au tigre et lui demande « Qui es-tu ? ». Décontenancé, il répond « Je suis ton père et tu dois m'obéir. » Je lui répond qu'il ne peut pas me commander comme il le veut. Mais je suis aussi conscient que certaines de ses critiques sont justifiées. A un moment, le tigre - père devint amical, nous nous sommes serrés la main et il m'a encouragé à suivre ma propre voix. Je suis alors resté seul dans mon rêve."




L'expérience et son intérêt pour le patient

Les rêves lucides peuvent être entraînés voire provoqués à volonté. Ils sont un outil thérapeutique permettant par exemple de dépasser des cauchemars. Ainsi, changer son attitude vis à vis des personnages oniriques hostiles (entamer un dialogue avec eux, les regarder dans les yeux plutôt que fuir) a souvent pour effet de rendre les assaillants plus amicaux, de modifier l'issue des cauchemars (Tholey), voire de les faire disparaître. Le rêve lucide peut aussi être utilisé pour travailler sur ses problèmes personnels et il est très utile dans un cheminement spirituel de « transcendance » de soi (si cette dernière est recherchée prématurément, avant l'acceptation et l'intégration de la part d'ombre inhérente à chacun, elle peut au contraire conduire à une grande déstabilisation psychique).


Regard de la science

La lucidité nécessite un cerveau relativement très activé durant la phase du sommeil paradoxal (voir les travaux de LaBerge). Les rêves lucides ont en moyenne plus de sensations auditives et kinesthésiques, et plus de sensations de contrôle. Durant le rêve lucide, certains rêveurs ont ainsi la possibilité de contrôler leur fréquence respiratoire voire certains groupes de muscles. Les études suggèrent des effets bénéfiques à long terme : les personnes sujettes aux rêves lucides présenteraient des stress psychologique et biochimique relativement moindres, une pensée créatrice très élevée, ainsi que des changements psychophysiologiques (fréquences respiratoire et cardiaque plus basses...).

Pourquoi aller plus loin sur les rêves lucides ?

La recherche actuelle montre qu'atteindre une continuité de la conscience, tant en veille que dans le sommeil, est une étape essentielle au développement personnel. En cela, l'étude du rêve lucide est un outil idéal pour faire la lumière sur différents états de conscience, ordinaires ou modifiés, mais aussi pour comprendre les transitions de la conscience entre les états de veille, de rêve et de sommeil.

Approche thérapeutique 

Les événements vécus en rêve produisent sur le corps les mêmes effets que des événements réellement vécus : pour les systèmes fonctionnels d'activité neuronale, rêver une action équivaut à réellement la vivre. Quand il est lucide, le rêve peut donc devenir un puissant outil thérapeutique, voire une psychothérapie « intrapersonnelle » (Dane), car le dormeur peut intervenir dans son rêve pour décoder les messages symboliques de l'inconscient afin de mieux en saisir le sens. Les rêves lucides per mettraient même un changement de la structure de personnalité (Tholey). Certains chercheurs comparent le rêve lucide à l'imagination active définie par Jung, et estiment que tous deux peuvent être utiles pour les patients borderlines ou obsessifs-compulsifs.

Source : le magazine de l'INREES numéro 4

Chamanisme : conférence de Patrick Rivière




Expérience chamanique au tambour...

lundi 28 août 2017

La mémoire de l'eau

On se souvient de la polémique qu'avait créée il y une quinzaine d'années l'hypothèse de la mémoire de l'eau, défendue par Jacques Benveniste. Dans un entretien accordé à Inexploré, le prix Nobel Luc Montagnier explique comment il a confirmé et affiné ces résultats.



Par Virginie Gomez.

Telle une bande magnétique, l'eau encode des informations sur la substance qu elle a contenue. Une fois dilué, le liquide apparaît pur, on n'y trouve plus trace de la molécule présente avant la dilution. Pourtant, en décryptant l'information présente dans ses nanostructures, on retrouve cette molécule. L'eau a donc une mémoire. Il y a une quinzaine d'années, cette découverte a valu à Jacques Benveniste une excommunication pure et simple de la communauté scientifique. Décrédibilisé par la revue Nature, accusé d'être à la solde des laboratoires d'homéopathie, l'immunologiste a tenté en vain de faire reconnaître la validité de ses travaux. Il est mort d'un problème cardiaque en 2004, sans y être parvenu.

Quelques années après sa mort, le biologiste Luc Montagnier, prix Nobel en 2008 pour sa codécouverte du virus du sida, a repris les travaux de Benveniste qu'il estime avoir été victime de « terrorisme intellectuel ». La précision des résultats obtenus s'explique par une différence de taille : Montagnier mène ses expériences à partir de haute dilution d'ADN, ce qui n'était pas le cas de Benveniste. « Si la mémoire de l'eau est correcte, elle doit refléter la séquence de l'ADN présent initialement ; il n'y a pas alors de discussion possible. Et c'est ce qu'on a trouvé. »



La première découverte concerne la capacité de l'eau à conserver avec une relative stabilité des informations sur la substance qu elle a contenue. Schématiquement, l'expérience est la suivante : on informe de l'eau avec de l'ADN de virus — cela signifie que le signal électromagnétique émis par l'ADN modifie la structure de l'eau ; ce signal est porteur d'informations précises sur l'ADN qui s'inscrivent dans l'eau, en quelque sorte. La solution est ensuite diluée jusqu'à ce que toute trace de l'ADN ait disparu ; puis à partir de cette eau informée, et en utilisant un procédé appelé PCR (Polymerase Chain Reaction) — avec une enzyme capable de lire la structure de l'eau — on recrée la séquence d'ADN. « Quand on nous dit qu'il n'y a plus de molécules dans nos dilutions, nous répondons que nous avons les molécules d'eau qui sont structurées et qui reflètent la molécule présente au départ», explique Luc Montagnier. La deuxième découverte concerne la transmission de l'information dans l'eau, sans contact physique entre les liquides : prenez deux tubes à essai, l'un contenant une dilution d'ADN de virus, l'autre de l'eau pure, et puisez autour d'eux un champ magnétique de basse fréquence 7 Hz. L'information sur l'ADN va « passer » d'un tube à l'autre, de sorte que vous allez pouvoir à partir du tube d'eau pure, par le même procédé PCR, recréer une séquence d'ADN identique à 100 % à celle qui a informé la haute dilution. « La deuxième phase des expériences de Benveniste concernait la transmission à distance ; je n'en étais pas très convaincu, mais j'ai retrouvé le même phénomène : il faut s'incliner devant les faits. »

Dans les dernières recherches menées par Luc Montagnier, qui n'ont pas encore été publiées, la transmission de l'information a été faite sur grande distance. Des signaux enregistrés à partir d'une haute dilution à Paris ont été envoyés par Internet dans des laboratoires aux Etats-Unis, en Italie et en Allemagne. La séquence d'ADN a été reproduite à partir de l'enregistrement des signaux. « On envoie l'enregistrement numérisé à distance comme s'il s'agissait de celui d'une pièce musicale. On utilise d'ailleurs des fichiers spécialisés pour la musique. Une fois qu'ils ont été réceptionnés, l'ordinateur «joue » le fichier et envoie les signaux électriques amplifiés dans une bobine de fil de cuivre qui entoure un tube d'eau : le courant crée ainsi un champ magnétique modulé. C'est finalement ce champ magnétique qui va créer la structure de l'eau. Puis on effectue la réaction PCR sur l'eau avec tous les ingrédients pour la synthèse d'ADN et on reconstitue ainsi la séquence d'ADN à distance. C'est assez fantastique. Nos collègues des laboratoires receveurs sont enthousiastes. »

Les résultats ont beau être reproductibles, ils en ont sur pris plus d'un. Selon Luc Montagnier, ils lui ont même valu une campagne de dénigrement en règle menée par d'anciens prix Nobel, qui l'a empêché de financer son nouvel Institut à l'université Jiao-tong de Shanghaï : « La fortune scientifique sourit aux esprits préparés, disait Pasteur. Je suis un esprit préparé mais ce n'est pas encore le cas de beaucoup d'autres pour qui il est difficile de concevoir la nouvelle réalité : il faut admettre que l'eau est capable de se structurer, que ses structures sont stables, qu'elles reflètent la structure chimique précise de la molécule de départ et qu'il y a une transmission chimique précise par des ondes électro magnétiques. »

Ces découvertes contredisent un dogme en biologie : la nécessité d'un contact physique entre les atomes des structures biologiques pour que les informations soient transmises. « Bien sûr, nous n'allons pas nier que beaucoup de transmissions de signaux se font de cette façon ; mais les approches de reconnaissance peuvent se faire également sans contact : les molécules de la vie peuvent communiquer à distance par des ondes. » Pour le biologiste, nous sommes à l'aube d'une révolution.

Ces résultats ont été publiés en 2009 dans une nouvelle revue éditée en Chine, Interdisciplinary Science. En tant que chef du bureau editorial, Luc Montagnier avait proposé un premier article pour son lancement, qui est finalement paru dans le deuxième numéro. Un second article davantage s axé sur le sida est paru dans la même revue. Un troisième article a été publié en 2011 dans le Journal of Physics.

Source : le magazine de l'INREES numéro 16.


Retrouvez le livre de Jacques Benveniste "Ma vérité sur la mémoire de l'eau" dans la bibliothèque d'ATEES...

samedi 26 août 2017

L'amour, une énergie qui guérit

Propos recueillis par Virginie Gomez.

Olivier Chambon, médecin-psychiatre et psychothérapeute, s'intéresse à l'utilisation des états modifiés de conscience en psychothérapie. Il est l'auteur d'ouvrages sur l'utilisation thérapeutique des psychédéliques, le chamanisme et la psychothérapie.



Olivier Chambon s'est intéressé à l'énergie de l'amour, ses manifestations et ses effets sur les autres.

L'amour peut être compris comme un mélange d'énergie et d'intention consciente. Les guérisseurs, les chamanes traditionnels ou modernes parlent tous du rôle essentiel de l'amour dans la réussite du soin. Et la majorité décrivent un circuit similaire : une énergie cosmique entre par le sommet de la tête, ou une énergie tellurique par les pieds, elle se concentre dans le coeur, et du coeur est transmise par les mains. Cela correspond en acupuncture aux méridiens qui relient le coeur aux mains : c'est le circuit de l'énergie de guérison. Il semble que l'amour crée un champ énergétique qui affecte tout ce qui y pénètre. Ce qui se trouve dans ce champ d'énergie se met à vibrer sur la même longueur d'ondes et l'ordre inhérent au vivant, des tissus aux particules subatomiques, se réaffirme.

Ce champ a été mis en évidence en laboratoire. Des scientifiques comme le professeur de psychiatrie Gary Schwartz ou le chercheur en biophysique Fritz-Albert Popp ont observé que les guérisseurs en action émettaient des particules de lumière, des biophotons. Le physicien Wolf (2005) avance l'hypothèse que les sentiments d'amour pourraient se décrire en termes de propriété quantiques de la lumière et des photons. Ces biophotons, source de cohérence, seraient impliqués dans les échanges intra et extracellulaires. L'amour permettrait d'entrer en résonance avec une autre personne, cette résonance étant le vecteur des effets observés. Une rencontre a lieu, une connexion s'établit, une résonance se produit. La communication entre les personnes transcende alors l'échange de mots : elle devient énergétique, et spirituelle.

Ses effets sur l'autre sont également tangibles. Dans une recherche sur l'amour (The Love Study) qui a fait date, Dean Radin et Marylin Schlitz étudièrent des couples : l'un des deux partenaires, sain, émettait des intentions positives de guérison pour son conjoint atteint d'un cancer, installé plus loin dans une pièce isolée de tout rayonnement électromagnétique. Certains de ces couples avaient été entraînés à émettre ces intentions en générant de la compassion et de l'empathie envers leur partenaire, à l'aide d'une technique de méditation bouddhiste basée sur la compassion. Chaque réaction physiologique (dont l'activité cérébrale) chez les sujets récepteurs correspondait précisément à celle enregistrée chez les sujets émetteurs. Mais les réactions les plus prolongées se manifestèrent chez les couples entraînés à émettre des intentions compatissantes. Cela montre aussi que l'énergie de l'amour peut être entraînée. Nous pouvons apprendre à l'invoquer consciemment et à la transférer intentionnellement à une autre personne ou à une zone particulière du corps. On peut remplir d'amour son corps, son coeur, et ses pensées : c'est une pratique recommandable pour un thérapeute et aussi pour son parient, au début de tout soin.

Plus généralement, une bonne façon de commencer la journée peut être de pratiquer les exercices de cohérence cardiaque, une technique de « musculation émotionnelle et spirituelle du coeur ». Elle permet de lutter très efficacement contre les effets psychosomatiques du stress, procure une meilleure régulation émotionnelle, et a des effets spirituels, en développant le chakra du coeur.

Quelle que soit la méthode choisie, voici un préalable : pour charger la batterie qu'on a en soi, il faut d'abord s'aimer soi-même, aimer son corps comme une sorte de temple, de cathédrale, et sa psyché avec tous ses défauts comme on aimerait un enfant qu'on éduque, pour lequel on a une grande bienveillance. Le plus important est d'avoir de la compassion pour soi-même et une attitude d'intérêt aimant envers les choses que l'on expérimente, quelles qu'elles soient. Comme si l'on appliquait les émotions du coeur à tout ce qui nous arrive.Traversé par cet amour, nous pouvons le retransmettre.

Source : Le magazine de l'INREES numéro 16

vendredi 25 août 2017

Confier son stress à la terre


Tous les magnétiseurs ou géobiologues vous le diront, la nature du sol sur lequel on dort a une influence sur notre sommeil et notre santé.
On sait par exemple, qu'il est recommandé de ne pas dormir à l'aplomb d'une source, ou d'un cours d'eau à cause des perturbations telluriques générées au niveau du champ magnétique terrestre. On sait aussi - les grand-mères le disent sans l'expliquer - qu'il vaut mieux dormir la tête au nord. Les énergies, bonnes et mauvaises, entrent pat le nord et s'écoulent vers le sud. Vous utilisez les énergies positives, restent les énergies négatives qui se stockent dans vos pieds.

Lorsque vous marchez, à chaque contact avec la terre, les énergies négatives se dispersent dans le sol. Si vous donnez la tête au sud et que vous ne savez pas marcher sur la tête (!) vous ne pourrez pas disperser les énergies négatives. Inutile, cependant de revoir la décoration de votre chambre, et le positionnement de votre lit : il y a des solutions.

Je précise que la méthode qui suit, doit s'appliquer s'il fait bon, si le sol n'est pas trop humide. En aucun cas, vous ne devez avoir froid, sinon votre stress disparaîtrait mais vous attraperiez un rhume! L'endroit importe peu, il peut s'agit d'un pré, d'un jardin, d'un sous-bois, de plage... il faut un sol naturel. Evitez le ciment, ou toute autre surface fabriquée. Allongez-vous, fermez les yeux. Ne pensez à rien (c'est difficile !) Restez le temps qu'il faut, jusqu'à ce que vous vous sentiez mieux : 5 à 15 minutes, ça n'a pas d'importance. Avant de vous relever, remerciez la Terre (oui, cela paraît futile, mais c'est important). Vous constaterez que vous aurez un mal fou à vous lever, comme si vous arrachiez de votre corps, les reliquats de votre stress, parti dans le sol. A faire et à refaire sans limitation.

Natacha Calestrémé.

Source : le magazine de l'INREES numéro 11

Test expérimental 15 : demander de l'énergie aux arbres


Nous connaissons tous des moments de fatigue, de doute, de pénibilité de la vie et bien souvent, nous ne savons pas vers qui nous tourner. Choisissez une forêt non loin de chez vous, chaussez des baskets, et ouvrez grand vos yeux. Marchez patiemment. Vous devez trouver le «roi de la forêt».

Le roi est l'arbre le plus grand, le plus majestueux, le plus vieux. Si plusieurs arbres de même taille se présentent, choisissez celui qui est le plus droit. Les arbres tordus, qui paraissent torturés, sont des manifestations de failles telluriques souterraines qu'il vaut mieux éviter.
En général, on sent comme un appel, on se sent attiré pat un arbre. Vous l'avez choisi du regard, avant d'aller vers lui, demandez-lui en pensées : « Puis-je te demander de l'énergie ? » Si un animal n'a pas interrompu vos pensées (ce qui, adapté à notre civilisation donne : si votre portable n'a pas sonné!), alors vous pouvez enserrer le tronc de l'arbre. Mais si en vous approchant, vous manquez de tomber, ou si un aboiement vous surprend, c'est que ce n'est pas le bon arbre, pas le bon moment. Il faut recommence!, allez plus loin.

Lorsque vous avez trouvé l'amie, positionnez-vous de dos, comme de face, cela n'a pas d'importance, il faut se sentit en confiance. Posez vos paumes de main le long de son tronc, touchez sa rugosité, sentez sa force, humez son odeur. C'est pourquoi je recommande de mener cette action, seul, ou accompagné d'amis qui ne vont pas interrompre votre démarche par des moqueries.
Fermez les yeux, respirez, et imaginez la sève de cet arbre qui entre en vous comme si vous étiez une nouvelle branche de cet arbre. Restez le temps qu'il faut, quelques minutes, puis avant de lui tourner le dos et de repartir.
N'oubliez jamais de remercier l'arbre. C'est très important. Les chamanes comme les  guérisseurs insistent tous sur ce point.

Natacha Calestrémé

Source : le magazine de l'INREES numéro 11

jeudi 24 août 2017

5 questions à Bernard Werber



Lorsque l'écrivain Bernard Werber regarde sa montre, il est souvent 15h15, ou 2h02, ou tout autre horaire symétrique. Un sujet détonnement et d'interrogation comme des centaines d'autres pour cet auteur prolixe, qui a signé plus de vingt romans, réalisé un film, et qui vit son écriture comme un rêve éveillé.

Propos recueillis par Virginie Gomez.


Quelle expérience extraordinaire vous a particulièrement marqué ?

Bernard Werber : J'ai rencontré quelqu'un qui m'a appris à faire du voyage astral, et ça m'a inspiré. Les thanatonautes. C'était en colonie de vacances. Nous avions 13 ans tous les deux et il faisait du raja Yoga. Il m'a appris à respirer, à regarder, à tout faire en conscience, à maîtriser mes battements cardiaques, à nettoyer mon nez avec de l'eau salé... C'était une initiation à la spiritualité. Il disait que tout était le yoga. Il m'a aussi appris à tenir une posture, faire le vide dans ma tête et sortir de mon corps. Sur le moment, il m'a semblé que c'était ce qui se passait pour moi. Avec le recul, je me demande si je ne m'en suis pas convaincu moi-même.


A 13 ans, n'est-on pas plus enclin à croire ce genre de chose possible, sans se poser trop de questions?

Pas du tout. Ce n'était pas des trucs de gamins, comme ceux qui se touchent les doigts pour appeler les fantômes. J'étais très raisonnable déjà à 13 ans, passionné par les sciences. On lisait beaucoup tous les deux. Lui faisait deux heures de yoga le matin, deux heures le soir, il faisait attention à sa nourriture, il se levait tous les jours à six heures, il restait en position du lotus, immobile, pendant au moins une heure. Il avait une discipline de yogi, elle lui venait d'un enseignement qu'il avait reçu d'un maître indien. Ce n'était pas du tout un ado, et moi non plus. Nous étions très conscients de ce que nous faisions. Ça m'a donné envie de poursuivre, j'ai cherché un club de raja yoga à Toulouse, j'en ai essayé plusieurs, mais ce que j'y ai trouvé était inintéressant et n'avait rien à voir avec ce qu'on m'avait enseigné.

Vous parlez parfois d'un pas nécessaire de la conscience humaine. N'ayant pas trouvé d'initiation au raja yoga, comment vous-même avez-vous fait ce pas ?

Ce que je dis, c'est que nous vivons non pas de l'intelligence, mais de la conscience. L'intelligence n'apporte pas le bonheur, elle permet de faire des calculs. La conscience apporte une expansion de l'âme, et une capacité à comprendre les autres et toutes les formes de vie. J'ai trouvé une autre manière de faire ce pas de conscience : mon écriture, la façon dont je l'aborde est pour moi un moyen de poursuivre mon initiation au yoga. Quand j'écris, je suis par moment en état de transe. Je m'oublie complètement. Je pratique l'écriture depuis l'âge de 16 ans et je vais en avoir 50, ça fait donc 34 ans que j'écris tous les jours, et ça me met dans un état de flottement que j'appellerai du rêve éveillé. C'est ma forme de spiritualité la plus active. L'avantage, c'est que c'est mon métier et que ça aboutit à quelque chose de visible pour les autres.

Beaucoup de choses vous échappent-elles au cours de ce processus ?

 Il y a un lâcher-prise qui est ma forme de maturité, au contaire d'un écrivain débutant qui voudrait tout contrôler. Plus on pratique, plus on est dans une sorte d'inspiration naturelle. Quand j'écris, je ne sais pas où je vais aller. Je suis le premier lecteur de ma propre écriture et le premier surpris de ce qui sort. Quand il y a des dialogues, ce que va dire un personnage ne m'aurait jamais traversé l'esprit. Et pourtant, c'est sorti, et c'est moi qui l'ai tapé. En l'écrivant, le dialogue va me faire rire ou va me surprendre. Est-ce une forme de schizophrénie? Est-ce que mes personnages existent ? Je ne sais pas. Mais c'est une sensation très amusante. Tout à coup, mes dialogues se mettent à exister automatiquement. Je me laisse porter... comme au surf. Il y a une vague. Mon art consiste à essayer de me placer au bon en droit, et une fois sur la crête, d'y rester le plus possible sans tomber. L'écriture est devenue mon yoga. Elle me permet de planer, d'avoir des extases. Elle me permet aussi de savoir qui je suis.


En vous perdant, vous arrivez à savoir qui vous êtes ? 

 La machine à intellectualiser, à tout expliquer, à reproduire des habitudes, s'éteint. Apparaît alors autre chose, le moi véritable, la pensée pure. Et c'est ça qui écrit. Je ne recherche pas la magie, les fantômes, la méditation, les produits hallucinogènes. Je cherche juste à me reconnecter. Dans le yoga, on fait taire le papillonnement de la pensée. Autre chose apparaît, qui est le moi véritable. Certains y arrivent peut-être aussi par le sport, la peinture, l'alpinisme... Moi c'est dans l'écriture que je fais taire l'intellect et laisse parler l'inconscient.

Source : Le magazine de l'INREES numéro 11.

mercredi 23 août 2017

Le champ akashique

Concept clé de la pensée d'Ervin Laszlo, le champ akashique ou champ A est l'appellation qu'il donne au champ universel d'information.

Le mot " akasha " est un mot sanscrit qui signifie "éther", l'espace omniprésent. Ayant à l'origine le sens de "radiation", ou "brillance", l'akasha était considéré dans la philosophie indienne comme le premier et le plus fondamental des cinq éléments, les autres étant l'air, le feu, l'eau et la terre.
Dans la culture hindoue et sanscrite, l'akasha est un médium global qui sous-tend toutes les choses et devient toutes choses. Il est réel, mais si subtil qu'on ne peut le percevoir avant qu'il devienne les nombreuses choses qui peuplent le monde manifesté. Nos sens corporels n'enregistrent pas l'Akasha, mais nous pouvons l'atteindre par la pratique spirituelle. Les anciens rishis l'atteignaient par un mode de vie spirituel et par le yoga. (....) Les scientifiques réalisent maintenant que l'espace n'est pas vide et que ce qu'on appelle le vacuum quantique est en fait un plenum cosmique. C'est un medium fondamental qui rappelle l'ancien concept d'Akasha. Dans le prochain développement de la science, le champ A rejoindra les champs universels actuellement connus : le champ G, le champ EM, le champ de Higgs, et les champs nucléaires fort et faible, de portée locale mais universellement présent.

Extrait de Science et Champ akashique, tome 2, Ariane 2008

Source : le magazine de l'INREES nunéro 11.

Vous trouverez les 2 tomes de Science et Champ akashique en livres électroniques, dans la bibliothèque d'ATEES.







Une conférence de Ervin Laszlo est disponible à cette adresse :

La prémonition à l'étude

Une étude scientifique sur plus de 1000 sujets, parue dans The Journal of Personality and Social Psychology, démontre l'existence de deux phénomènes psi : la prémonition et la précognition.

Cet article paru en janvier 2011, dans The Journal of Personality and Social Psychology, provoque de nombreuses réactions au sein de la communauté scientifique.
En effet, son auteur Daryl Bern, professeur émérite de l'université de Cornell (Etat de New-York), démontre l'existence de deux variantes de phénomènes de perception extrasensorielle : précognition (connaissance d'un événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux) et prémonition (intuition qu'un événement va se produire).

Cet article scientifique, basé sur 9 expériences et plus de 1 000 sujets ordinaires, montre des résultats statistiquement significatifs concernant leurs capacités psi, que ces perceptions soient conscientes ou non conscientes, cognitives ou affectives. L'auteur souligne que sans théorie explicative, il est juste de parler de condition «extraordinaire» mais pas de rejeter l'évidence offerte a priori.
Historiquement, la découverte et l'exploration scientifique de la plupart des phénomènes ont précédé des théories explicatives, souvent par des décennies ou même des siècles. Plus d'une vingtaine d'études publiées corroborent déjà ces résultats.

Si ces travaux fédèrent la communauté scientifique, cela risque d'avoir un impact considérable sur la façon de tavailler sur le cerveau et de considérer l'espace temps.

Source INREES magazine n°10


mardi 22 août 2017

Test expérimental 14 : la prière



Etudes...

Selon une étude menée conjointement en Israël et aux États-Unis avec le financement de l'Institut national de la santé américain, prier régulièrement réduirait de 50 % le risque de contracter la maladie d'Alzheimer ou d'être victime de pertes de mémoire et de démences légères. « La prière est une coutume qui nécessite un investissement de la pensée, c'est sans doute l'activité intellectuelle liée à la prière qui pourrait constituer un facteur de protection ralentissant le développement de la maladie d'Alzheimer », affirme le PrRivka Inzelberg de la faculté de médecine de Tel-Aviv qui a supervisé ces recherches. La prière, selon cette même étude, freinerait également le développement de problèmes d'hypertension, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Ce n'est pas la première fois que des études sur la prière ont été menées.

Prier régulièrement réduirait de 50 % le risque de contracter la maladie d'Alzheimer.

En 2001, notamment, une expérience scientifique réalisée en double aveugle par des chercheurs de la Columbia University de New York avait permis de démontrer son efficacité, même à distance. Cent soixante-neuf femmes coréennes, âgées de 26 à 46 ans, avaient été traitées pour infertilité au Cha General Hos pital de Séoul, par fécondation in vitro. Pendant trois semaines, la moitié d'entre elles a bénéficié de prières collectives, c'est-à-dire d'une intention de guérir en provenance de différents coins du monde, Canada, Australie et États-Unis. Pour éliminer tout effet de croyance ou d'attente qui biaiserait l'étude, ces femmes n'avaient pas été informées de l'expérience. Résultat : un taux de grossesse multiplié par deux chez les femmes ayant bénéficié des prières. Mais finalement, qu'est-ce qu'une prière ? Ne s'agit-il pas d'une pensée positive, d'une pieuse intention, d'une énergie rayonnante envoyée à soi ou vers d'autres personnes ?

Source : Inexploré de l'INREES


Père Brune : Le prêtre qui enquête sur l'au-delà

Source INREES
Dédicasse à Paul Coene.



Mondialement connu pour ses ouvrages sur la communication avec les morts, le père François Brune est aussi un théologien, défenseur d’un réenchantement du monde par l’expérience de notre lien intime au divin. Entre mystère et lumière, portrait d’un homme de cœur...

« Réaliser la volonté de Dieu… Et le paradis, le plus vite possible ! » Tel est le souhait du père Brune, sa dernière volonté peut-être. Car à 81 ans, avec une quinzaine d’ouvrages et des centaines de conférences à son actif, François Brune estime avoir fait son temps. La perspective n’effraie pas l’auteur du best-seller Les Morts nous parlent, qui défraya la chronique lors de sa parution en 1988. « Je sais que la mort n’est qu’un passage ; ce sera le plus beau jour de ma vie », dit-il. Et tant pis pour le livre qu’il aurait aimé dédier à Saint Jean, dans la lignée de celui qu’il a consacré à Saint Paul. Sur son bureau, patiente déjà une grosse enveloppe, « à expédier après ma mort pour informer quelques amis de mon changement d’adresse… »
En attendant, François Brune vit perché au sixième étage dans son petit appartement parisien, entouré de ses chères icônes, dont il est un spécialiste, de quelques dessins du Christ esquissés au fusain par un ancien élève, de ses 170 bandes dessinées, « seuls ouvrages de ma bibliothèque dont le taux de lecture dépasse largement les 100 % ! », et des centaines de livres qui couvrent ses murs, soigneusement classés : mystique occidentale, mystique orientale et religions non chrétiennes… « Et encore, j’ai donné tout ce qui concernait les Pères grecs à un monastère orthodoxe ! »
Oiseau de nuit, il se couche aux aurores, se lève dans l’après-midi, oublie de manger – « À croire que la spiritualité suffit à le nourrir ! », sourit son ami le médium Henry Vignaud –, descend siroter un café, remonte vaillamment à pied car l’ascenseur est en grève prolongée. Quand il ne travaille pas sur la réédition de Christ et Karma« un ouvrage important » à paraître à l’automne 2012, le prêtre, qui n’a plus la force de lire de longues heures, contemple le ciel depuis sa fenêtre et regarde la télévision : « Pas mal d’émissions de politique et d’économie », ainsi que « d’épatantes petites séries policières. L’histoire je m’en fous, ce qui m’intéresse ce sont les expressions des visages, les rapports entre les personnages ».

Prêtre et enquêteur
Car ce prêtre « entre ciel et terre, là où il faut être », selon l’animateur radio Jean-Claude Carton, est aussi un chercheur, un scrutateur, quitte à bousculer l’ordre établi. « Je suis venu à l’écriture parce que j’avais des choses à dire, explique-t-il. D'abord contre la théologie de saint Thomas d'Aquin qu'on a essayé de me faire avaler dès mon entrée au séminaire, puis contre la théorie, acceptée un temps par l'Église, que lorsque le bonhomme est mort, sa conscience est détruite. Il n’existerait donc plus rien de lui, sauf dans la pensée de Dieu. Pas très consistant ! » Et pas très en accord avec ce qu’il a pu lire des premiers mystiques chrétiens, « des gens pas du tout allumés, capables de créer des ordres religieux et de négocier avec les puissants, qui témoignent avoir été conseillés, parfois matériellement aidés, par les saints qui leur sont apparus ».
Ordonné en 1960 puis affecté à la Compagnie de Saint- Sulpice, dont la mission est de former les futurs prêtres, François Brune est « foutu à la porte » des différents séminaires où il enseigne : trop subversif ! Subsistant grâce à la générosité de ses proches et à divers boulots (cours de français en Allemagne, expertise d’icônes pour des galeries parisiennes…), il découvre au milieu des années 70 les expériences aux frontières de la mort, via notamment le livre du Dr Raymond Moody La Vie après la vie.



mardi 15 août 2017

IADC : La communication induite avec les défunts



Perdre un être cher… La douleur d’une vie pour de nombreuses personnes. Comment apaiser sa peine et revivre normalement ? Et s’il était possible de communiquer avec l’esprit d’un défunt ? La méthode Allan Botkin, basée sur l'EMDR, change notre façon d'envisager la thérapie du deuil.

Lire la suite de l'article sur le site de l'INREES...

lundi 14 août 2017

Approche chamanique de la thérapie

Olivier Chambon et Liliane van der Velde expliquent en quoi consiste le chamanisme, et quelles conséquences il peut avoir sur notre esprit, notre corps, et dans notre approche de la nature et de la vie.


jeudi 10 août 2017

Médiumnité sous hypnose



Débrancher le filtre du mental, déployer notre conscience intuitive et nos capacités extrasensorielles via l’hypnose et ainsi entrer en contact avec nos défunts. Telle est l’expérience hors du commun proposée en atelier par le Dr Jean-Jacques Charbonier, anesthésiste-réanimateur. J’ai fait le voyage...




vendredi 4 août 2017

Comment fonctionne la méditation?

Nous sommes tous engagés dans un dialogue interne continu dans lequel la signification et les associations émotionnelles d'une pensée déclenchent la prochaine, généralement sans que nous soyons conscients du processus. La psychologie bouddhiste décrit ce processus comme samskara, qui peut être considéré comme des rainures dans l'esprit qui fait des pensées de flux dans la même direction. Nos samskaras personnels sont créés à partir des souvenirs de notre passé et peuvent nous obliger à réagir de la même manière à maintes reprises. La plupart des gens construisent leur identité sur la base de samskara sans même se rendre compte qu'ils le font.
En méditation, nous perturbons la progression inconsciente des pensées et des émotions en nous concentrant sur un nouvel objet d'attention, qu'il s'agisse d'un mantra, de notre souffle ou d'une image.
La méditation est l'une des meilleures façons de desserrer l'emprise des émotions collantes et de se connecter à notre véritable moi, qui n'est pas limité, en colère ou effrayant, mais est une conscience infinie et pure. La méditation nous ramène à la paix de la conscience actuelle et nous donne une expérience de relaxation profonde qui dissout la fatigue et les stress de longue date et, comme d'innombrables études ont montré, favorise la guérison physique et émotionnelle.

jeudi 3 août 2017

Entretien de Dean Radin sur la synchronicité


Directeur scientifique de l’Institut de Sciences Noétiques, aux États-Unis, Dean Radin est connu pour ses recherches sur le pouvoir de la conscience. Quel regard porte-t-il sur les synchronicités et ce qu’elles nous enseignent ?


mardi 1 août 2017

Le saviez-vous? #5



Quelques notes, que j'ai retrouvé ce matin...
  • 80% des cellules du coeur sont des zones neuro-cardiaques. Elles produisent les cellules de l'émotion. Notre esprit n'est pas dans notre cerveau, mais dans toutes les cellules.
  • Au cours des 3 dernières semaines, 1 quadrillion d'atomes ont traversé votre corps et passé par le corps de tous les êtres vivants de notre planète (un champignon, Madonna, une fleur, une baleine...).
  • Si l'on considère que la conscience est quelque chose qui a de la mémoire et qui fait des choix, alors une cellule est une conscience.
  • Le bonheur de vos ennemis supposés est bon pour votre bien-être.
  • Selon des calculs mathématiques, nous possédons tous 1 million de cellules qui étaient dans le corps de Jésus-Christ ou de Bouddha
  • En moins d'un an, nous recyclons 98% de toute la matière de notre corps, un nouveau foie toutes les 6 semaines, 1 nouvel estomac tous les 5 jours, 1 nouvelle peau tous les mois...même notre squelette d'il y a un an n'existe plus.
  • Nous sommes tous entièrement constitués de particules subatomiques, qui viennent du vide. L'action se situe dans le vide. Le vide quantique n'a pas disparu avec le big-bang!
    "Nous naissons de la spirale du vide en semant des étoiles comme de la poussière
  • 1 cm cube d'espace possède 10 puissance 37 plus d'énergie de masse que l'univers tout entier.
  • Il n'y a pas de personne à l'intérieur de nous. Tout ce qui nous définit dépend de l'autre. Nos esprits sont entremêlés et nos corps sont entremêlés, puisque l'esprit n'est pas séparé du corps.
    Mon bien-être émotionnel dépend des autres. Votre bien-être émotionnel dépend des autres.
  • Votre esprit existe grâce à tous les esprits qui ont déjà existé et qui existeront dans le futur
  • 80% des personnes dans le monde n'aiment pas leur travail. Plus de gens meurent à 9 heures le lundi matin qu'à n'importe quel autre moment. La maladie du temps est la plus répandue. Elle accélère l'horloge biologique, le rythme cardiaque, la tension artérielle...du coup, le temps de vie est écourté.
    Lorsqu'un patron ignore ses salariés, le niveau de désengagement augmente de 45% et les maladies apparaissent au bout de 3 à 4 mois (moyenne statistique)
    S'il vous critique, vous allez mieux, car vous vous sentez exister. Le niveau de désengagement baisse à 20%.
    Lorsqu'un patron fait remarquer ses points forts à un salarié, le niveau de désengagement baisse encore et la santé s'améliore.
  • La conscience est un singulier qui n'a pas de pluriel
  • La conscience non-locale est en corrélation avec tout.
  • Le bonheur des gens qu'on ne connait pas a tendance à augmenter notre bonheur.
  • Si vous avez un ami qui est heureux, votre bonheur augmente de 15%. Si cet ami a un ami que vous ne connaissez pas et qui est heureux, votre bonheur augmente de 10% en plus. Si l'ami de votre ami a un ami(que vous ne connaissez pas) heureux, votre bonheur augmente encore lol! et ainsi de suite...on ne sait pas pourquoi...
  • Pratiquer la compassion, la tendresse aimante, la joie et l'équanimité modifie nos gènes, notre cerveau, notre corps tout entier. C'est la voie de la guérison.
  • L'homme possèdent 23000 gènes. (50000 pour le riz).
    65% de nos gènes sont les mêmes qu'une banane. 80% sont les mêmes qu'une souris. Il n'y a pas de gênes "humains.


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